jeudi 11 novembre 2010

Nestor Burma raciste ? allons bon !

Je devais certainement sembler le dernier à le savoir sans comprendre pourquoi une partie de l'oeuvre de Léo Malet n'était pas rééditée. En feuilletant un peu plus les pages de Micmac moche au Boul' Mich page 47. Je ne vais pas reprendre l'extrait incriminé (quoique...) certainement pour des questions de droits de reproduction, etc. mais cela m'a stupéfait de lire la ligne puis d'enquêter brièvement sur la personnalité de l'auteur... Bon, cela m'empêchera pas de finir ce livre et de racheter les Rats de Montsouris... je n'avais pas même fini la réédition 1974 de Boulevard...Ossements mais je suis assez inquiet de savoir quant à mes choix et mes préférences hasardeuses... pour la Hongrie, pour la Tchéquie... l'oeuvre de Malet, mon engouement pour une jeune Sibérienne, putain ! Tous racistes ? Mais c'est quoi exactement le problème avec le peuple de Cham ? C'est quoi le problème avec les autres communautés. Le seul auteur à mes yeux qui arrivait à décrire la capitale comme j'aime le lire et l'autre était un réac et un raciste ? Je finirai le livre. Je le garderai mais je n'attendrai pas de pied ferme que Pocket se décide à rééditer le catalogue de cet auteur. Ils sont libres de ne pas le faire.

Un mythe s'effrondre...


mercredi 3 novembre 2010

D'LISS GUERDY Zié fémè musique antillaise zouk France

Mon côté zouk... Une vieillerie comme j'M les réentendre... Un bon petit morceau.

jeudi 21 octobre 2010

Station Javel, Paris 15ème



Juste après le Grand Journal, j'ignore si j'y retournerai.
Une grande impression de pénétrer dans un bunker pour VIP. La sécurité y semble assez démesurée, pour une chaîne de télévision (privée, ok, mais c'est démesuré...)


Salon de L'Auto 2010












Je suis allé au Salon de l'auto 2010 en solo, je n'ai pas regretté, il me fallait le faire en ce dimanche 10 octobre 2010 (10.10.10) mais je n'y suis pas allé à 10h10... Et cette belle après-midi, j'y ai vu, peut-être la voiture que j'aimerais posséder concrètement... La nouvelle c4 ! Je m'étais déjà attardé sur la nouvelle c3 avec hublot supérieur (en lieu et place du fameux toit ouvrant des anciennes gammes de la marque au double chevron... J'y ai vu aussi la BMW 320i Tourer mais bon... La 316i n'était pas plus mal... Mais monter dans une voiture que je n'aurai jamais, c'est assez frustrant d'y penser, encore et encore... Je me souviens encore de cette fameuse Bimmie à bord de laquelle, je m'étais pris un peu à rêver et en entendant un crapaud soupirer la phrase le rêve ultime, on ne l'aura jamais... Le gamin venait de briser pendant une demi-seconde mon songe mais je pris la résolution de continuer d'espérer, coûte que coûte et gagner honnêtement (ou presque) ma vie... Amasser du blé et bien vivre... Tenter au moins de le faire...


dimanche 17 octobre 2010

C'est ce que j'avais cru quand j'étais petit...

Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo

dimanche 10 octobre 2010

Une photo pour le matin

Look @ my seriously funny models, I had to sit down because t... on Twitpic

J'ai vu cette photo, j'ai et traduit vite fait, trop mignonnes, les filles...

samedi 18 septembre 2010

Janvier 2008, génèse d'une histoire





C'est dans le RER C, au retour du bercail, qu'un dimanche au soir, j'avais eu l'idée d'écrire, en fait, j'avais sur moi, une demi-feuille et un crayon (assez souvent, je le fais pour noter une adresse, un portable d'une go ou d'un ami) et euh... les personnages de Pierre-Aimé, d'Aymeric et de Daisy me sont apparus comme ça. Au tout début, j'établissais une sorte de fiche signalétique façon canard people avec la date de naissance, puis... le lien qui les unissait. Puis je me suis souvenu du Val d'Argenteuil (la gare, puis la zone) où j'y travaillais assez souvent pendant mes années d'intérim. Puis Argenteuil, le contraste entre le centre-ville et le Val d'Argent, puis une autre ville voisine. Puis l'histoire a démarré ainsi. Je n'avais pas surpris de conversation privée dans le train mais il m'arrivait d'entendre des bribes de propos intimes et assez obscènes entre trois jeunes filles qui parlaient de cul. Carrément, mais le ton était bas, elles semblaient plus ou moins parler à voix basse mais je captais quand même le contenu. J'ai mis mon casque puis j'ai tendu l'oreille (façon de dire) Puis l'idée de bisexualité dans la première histoire m'est venue... Sans trop chercher à tomber dans le même cliché, j'ai voulu écrire une histoire qui existe, sans même que cela se déclare ouvertement. certaines personnes s'affichent hétéro devant leur entourage mais n'avouent pas réellement leur vrai visage, leur véritable sexualité et en banlieue, il est impossible de le faire, au jour d'aujourd'hui car en quarante ans, la banlieue a changé de visage. Radicalement. Les jeunes loulous en perfecto d'autrefois ont laissé la place à une autre forme de racaille d'aucuns pensent qu'elle est sous déni de culture... (ah bon ?)
La deuxième et la troisième sont un peu plus classiques, mais il n'est toujours pas question d'exil ou de déracinement, moi-même ne sais pas ce que c'est. Je suis né ici.

Janvier 2008, génèse d'une histoire





dimanche 8 août 2010

Réédition

Petites Chroniques du Nord Parisien fera l'objet d'une réédition corrigée, d'ici la fin de ce mois, dès le 25 (je l'espère) car l'impression de la première est n'est pas bonne du tout. J'étais tout seul à le faire, je ne maîtrise pas vraiment les codes de l'impression informatisée, en fait... Donc, en principe, là, cela devrait le faire. Quant au passage du projet sous l'oeil d'un correcteur professionnel, cela me prendrait un peu trop de temps et d'argent. Donc, voilà, le livre paraîtra à nouveau en fin août, uniquement sur bod.fr et amazon.fr et leurs réseaux internationaux respectifs... Prière de ne pas l'acheter avant septembre prochain. Merci
Sinon, actuellement, je travaille sur le format embryonnaire du second livre. Je n'ai toujours pas de titre provisoire en tête.
Le point de départ de l'histoire m'a été inspiré d'une interview de jeunes de Baie-Mahault (971) par une équipe de Télé Guadeloupe et c'est la phrase de fin d'un entre eux qui m'a donné le déclic...

lundi 19 juillet 2010

Snoop Dogg "Oh Sookie" True Blood Music Video HD



Je découvre ce clip de Snoop qui risque d'être éclipsé par son non-moins excellent featuring interprété sur "California Gurls" (avec un U) de Katy Perry.

vendredi 16 juillet 2010

Petites Chroniques du Nord Parisien (sortie)

Mon premier livre Petites Chroniques du Nord Parisien est désormais disponible sur le site web de BoD France depuis le 5 juillet 2010.
ATTENTION : le livre est sorti en 272 pages (couverture souple) et non plus 300 pages en reliure brochée, comme indiqué sur le site d'Amazon.fr et autres boutiques en ligne proposant le livre. Je vous prie de ne pas y prêter attention. Merci d'avoir lu mon message.

dimanche 11 juillet 2010

Second extrait

Texte protégé. Ceci est la propriété de Jean-Marc L. dit Luc Philogyne. Prière de ne pas copier. Merci.


Astrid et Willy regagnèrent la voiture garée devant l’immeuble, l’après-midi qui s’achevait, Astrid arracha prestement une amende collée au pare-brise puis la citadine démarra, après une manœuvre quelque peu laborieuse. Astrid, pendant le trajet, considérait l’idée de frayer avec Martha Jackson, agent de stars et d’aspirants à la célébrité, dont certains avaient réellement un potentiel pour réussir.
Astrid devait se débrouiller le lendemain au moment où elle prenait le train avec une partie de l’équipe de RVAL pour Cannes, pour emmener avec elle, sa fidèle assistante. Depuis un moment, alors que le train avait déjà entamé sa longue route vers le sud-est. Astrid fut intriguée par quelques pop-ups qui apparaissaient sur l’écran de son portable. Habituellement, une cigarette aux lèvres, la plantureuse rousse s’abstenait de s’attarder plus d’une demi-heure, préférant écouter les dernières ébauches de sketches de sa camarade de jeu, Vickie Liancourt. Mais là, il y avait quelque chose qui l’intrigua. Ornella n’était pas loin. Elles s’aperçurent ensemble que cela concernait M. Poll. Là, en en cliquant sur un lien d’un site de potins, Astrid crut s’étouffer de rire. Certainement une blague, une très bonne blague.
Sur l’écran, une dépêche émanant de la rubrique people, rapportait une liaison supposée entre l’acteur de renommée internationale et une actrice latino-américaine de films porno très en vogue. Les deux femmes se mirent à éclater de rire très brièvement. Vickie jeta par moments, des regards furtifs en direction du portable. Brandon Poll se tape une actrice porno ! Ben voilà, le scoop, se dit-elle à voix haute.
- Ah, fit Astrid, en secouant nonchalamment sa crinière rousse, Brandon fait un peu ce qu’il veut ma chérie ! Il me semble qu’à un moment, avant de rencontrer la Cassie Beth, il lorgnait pas mal sur ses anciennes partenaires comme l’autre, là… Euh…
- Davina Simpson.
- Ouais. Davina Simpson, excellente dans le dernier Del Basso, mais une vraie chaudasse.
Le train arriva un peu plus tard à la gare de Cannes-Ville. Une bonne partie de l’équipe technique déjà sur place depuis une semaine s’activait, du fait que du personnel supplémentaire avait été recruté sur place. Le cirque comme chaque année avait déjà commencé. Le sigle d’OmégaVisions s’affichait un peu partout alentour de l’immense plateau télé installé en lieu et place du parking d’un grand hôtel de la ville, de sorte à ce que les prises de vues sur l’océan puissent apparaître le plus souvent et s’enchaîner avec les gros plans et les interventions des invités de l’émission. Comme à chaque direct, à la mi-journée comme en début de soirée. OmégaVisions, à cette saison de l’année, observait ses audiences carrément tripler pendant les deux semaines et demie, le temps de couverture de l’évènement. La pression ne se lisait pourtant pas sur le visage des animateurs ou des chroniqueurs mais Constance Le Tessier écrasait cigarette sur cigarette.
- Ce n' sont pas les gens d’en face qui pourraient assurer un show pareil, apostropha Astrid, se plaçant face à Constance, comme pour lui faire de l’ombre en ce coucher de soleil.
- Ah ! nos chers concurrents d’Hexagone Télévision, HT… songea Constance, en époussetant le manche de sa veste.
C’est Nabila qui m’a soufflé l’idée du bloggeur qui n’arrête pas tourner en dérision les d’HT, attends, je te laisse le slogan d’en-tête… HT, la chaîne dirigée et animée par des vendus. La belle trouvaille. Surtout pour un groupe média qui possède deux stations de télé-achat.
- Pas très fair play, tout ça… En même temps, cela ne les a empêché de nous taxer de chaîne à gros sous, sous prétexte que certains animateurs étaient encore grassement indemnisés après avoir été lourdés par la nouvelle direction. Où est le problème ? Les contrats de Vickie et d’Alain Sommet ne sont pas encore arrivés à terme, non ?
- Vickie n’a pas toujours pas de proposition d’émission, elle a enchaîné sur trois pilotes mais la direction non plus ne semblait pas très convaincue. Quant à Sommet, il avait son album de jazz soul à finir, puis les audiences de Ramdam dans mon bocal, ce n’était pas encore ça dès le premier numéro. Pourtant c’était une excellente idée, plutôt original, j’ai trouvé, même.
- Oui, une excellente idée, oui. J’avais même éclaté de rire quand il est arrivé, déguisé en lutin bleu quand il lui fallait annoncer l’arrivée de Sonia Zachary.

Issu du premier livre Petites Chroniques du nord parisien, éditions BoD France, à paraître prochainement en ligne.

Luc Philogyne

mardi 6 juillet 2010

Extrait de la première nouvelle.

Texte protégé. Ceci est la propriété de Jean-Marc L. dit Luc Philogyne. Merci de ne pas copier ce texte.

Aymeric Pouderoux glissa son regard vert autour de lui. Vingt-deux ans, fils aîné d’Alain et de Dominique Pouderoux, professeur de dessin et mère au foyer respectivement. Cheveux bruns coupés assez courts mais qui révéleraient ses origines s’il les laissait pousser très longs. Bordelais du côté paternel, corse et andalou par sa mère. Il faudra mettre ajouter une arrière-grand-mère issue d’une grande famille marocaine s’il fallait bien fouiller dans l’arbre généalogique. Il faut bien avouer que Dominique, malgré sa situation, serait pourtant née avec une cuiller teintée d’argent. En effet, son père fut un brillant négociant de tissus avant que celui-ci connaisse la banqueroute. Dominique avait tout de la femme venue du sud : le caractère, la taille menue, l’énergie nécessaire pour élever deux enfants et tenir son ménage si ce n’est fournir quelques efforts physiques pour le sport ou les discussions qui virent au pugilat. Sa fille cadette Ocilia, quatre ans plus jeune que son frère aîné. Ocilia, que certains membres de la famille surnommait Pallas, du prénom de sa grand-mère paternelle, dont elle avait hérité la mèche blanche plantée dans un océan de jais échouant jusqu’aux reins.
Aymeric rappelait beaucoup son père par sa démarche, d’abord, caractéristique aux Pouderoux, puis une grande réserve teintée d’une nonchalance qui pouvait tantôt dérouter, tantôt séduire les interlocuteurs d’en face. Aymeric était assez loin d’être un garçon charismatique mais il était d’une compagnie agréable. Il avait longtemps pratiqué du judo et du roller skate pour avoir cette attitude leste et quelque peu féline quand il se déplaçait.
De l’avis de tous ceux qu’il approchait, il n’avait pas l’assurance d’un meneur mais il parlait et présentait plutôt bien. Mesuré, volubile mais sûrement pas prétentieux, ni frimeur. C’est aussi ça qui avait séduit Daisy, dès le départ. Même si leur tout nouveau couple semblait quelque peu antinomique, aux yeux des rares personnes à connaître leur relation.
Aymeric venait d’achever ses études. Le bac L en poche et une première année en BTS communication des entreprises avortée, il venait d’enchaîner de petits boulots en missions d’intérim, tout cela en l’espace d’un an. Aymeric, désirant observer une courte période de réflexion et ou débauche auprès de Pierre-Aimé Dallongeville, le permis B en poche depuis deux ans mais toujours pas de véhicule en main jusqu’à que Mme Pouderoux se décide enfin à s’acheter sa voiture et la partager avec son fils qui semblait plus à l’aise qu’elle derrière un volant. Une Classe B 190 Avant-Garde de couleur grise métallisée. … Le piège parfait à fille, selon Pierre-Aimé qui aimait s’afficher à l’avant du véhicule à chaque sortie nocturne. Selon toute apparence, les Pouderoux n’étaient pas pour autant privilégiés. Le voisinage n’était pas dupe du statut d’Alain Pouderoux, professeur de dessin dans le privé. Alain était lui aussi issu d’une bonne famille girondine, principalement de Pessac, cette même ville qui l’a vue naître et vu ses premiers amours dont Dominique devait – furtivement – en faire partie. Des grands-parents partis de rien et des parents destinés, bon gré mal gré, à devenir des enseignants dotés d’un mode de vie assez confortable. Mais cette ascendance n’avait jamais empêché Aymeric et sa sœur cadette de fréquenter leurs camarades de classe du quartier du Val d’Argent.


Extrait de Petites Chroniques du nord parisien, éditions BoD France, à paraître bientôt en ligne.


Luc Philogyne

dimanche 4 juillet 2010

Le projet

Voilà, depuis vendredi dernier et lundi pour une petite mise au point avec le bureau du site*, j'ai enfin validé le manuscrit. Bon, je n' l'ai jamais soumis sous le contrôle d'un correcteur professionnel mais cela me revenait à près de 230 à 250 € et là, je n'avais ni l'argent, ni le temps pour le faire. Malgré le fait que cela corresponde à une création d'entreprise, le lancement d'un livre auto-édité (à compte d'auteur, quand même, même à près de 50€) donc, voilà.
Petites Chroniques du nord parisien devrait voir le jour, fin juillet ou début août de cette année 2010. Je fais ce que je peux pour gratter un peu de sous et inscrire mon nom de scène sur la toile et quelque part sur le papier...
Pour la plume et l'image (et le son, un jour sans doute), mon nom, c'est
Luc Philogyne.
Je suis quelque part sur la toile, suffit de taper ce nom en recherche, nom de scène que je cherche à protéger, j'ignore comment mais cela se fera d'une manière ou d'une autre.
Voilà, j'ignore ce que cela donnera mais je l'ai fait.
(-:

Test pour un lien

Page Facebook de Luc Philogyne
Test lien.

mercredi 16 juin 2010

dédicacé à Jessica Firenze

Dédicacé à Jessica Firenze, si elle existe réellement en tant que telle...
La ferme ! aussi pour miss Cécile Belina.

mardi 15 juin 2010

Jessica







Le résumé du bouquin...

Je viens de rédiger le résumé du tapuscrit (enfin !) mais en espérant tout de même que cela restera tangible quant au reste du projet.


Deux amis d'enfance qui vivent leur sexualité un peu hors-normes dans un contexte peu approprié aux amours non-conventionnelles, une jeune adolescente, plutôt bonne élève mais mal dans sa peau, qui caresse son désir de fan assise face à son idole et redécouvre l'amour dans une situation des plus idylliques, un jeune couple foudroyé en plein bonheur à cause du chômage à l'heure où la meilleure amie de la fille s'apprête pour un choix pour le moins singulier. Tel est le propos de ces trois histoires qui composent Petites chroniques du nord parisien. Une autre façon de voir la banlieue parisienne. De l'autre côté du périphérique, en empruntant une autre voie, du côté de celles ou ceux qui ne semblent pas aussi mal partis dans la vie mais qui vivent tout mal une certaine différence vis-à -vis d'une majorité écrasante...

Ce texte est la propriété de Jean-Marc Lamothe dit Luc Philogyne.


dimanche 13 juin 2010

PCNP, bientôt...

Je ne suis pas loin de finir le tapuscrit, enfin les dernières lignes ont été écrites, c'est le résumé qui me pose un gros, gros problème. Mais d'ici... (?) les choses se préciseront d'ici le tout-début de cet été 2010, si je saisis correctement l'étape importante. Après, tout sera qu'une question de temps et de travail (de longue haleine). Faire ce qu'il faut pour que - vous - vous en parlez, vous m'en parlez.

12 juin 2010, suite ou fin ?

Pour revenir brièvement à la personnalité disparue évoquée (plus bas), je prends surtout note que dans ce pays, il ne faut trop s'étendre sur ses choix politiques. Tout semble se passer dans l'isoloir. Et visiblement non devant un objectif. Je remplis mes devoir de citoyen et c'est tout. Cela s'arrêtera là. Aucun regard à droite, vaguement à gauche et au centre. rien à l'horizon qui semble sinueux et hasardeux aux deux extrêmes... Fin de parenthèse.



12 juin 2010

Hier, ce samedi 12 juin 2010, c'était le jour de mes 40 ans. Anniversaire de mes 40 printemps célébrés tout seul, mais vraiment seul. J'ignore encore ce que signifie la crise de la quarantaine mais je m'en fous. Je n'ai pas d'ami pour me téléphoner ou me souhaiter le moindre vœu. C'est sûr que tu as beau te dévouer pour les autres, tu te retrouves tout seul devant un verre de Saint-Omer dans un troquet de la place de la République, dans ce même arrondissement qui m'a vu naître, quatre décennies pile plus tôt. J'ignore de ce qu'adviendra (je recherche la bonne définition) de mon projet littéraire, j'y travaille sérieusement sans trop laisser distraire ni par la musique, et surtout pas, par le net, ces maudits réseaux sociaux qui happent ton attention. J'ignore aussi qui prêtera attention à mon blog, cela ne me dérangera pas d'écrire dans le vide, les gens prétendent que le monde est petit. Tu m'as reconnu ? OK, je te remercie d'avoir lu mes lignes et toi qui me connais réellement, si cela te fait rire, eh bien, tant mieux, ne t'attends pas à lire un message kikoulol...
J'ai parfois le cœur noir comme l'abysse et dur comme la glace, sans le crier trop fort sur les toits.
Je trouve même écœurant qu'une ancienne personnalité de la télévision française comme
Denise Glaser soit enterrée sans que le monde des arts et du spectacle lui rendu un dernier hommage digne de ce nom. Les peuples n'ont vraiment pas de mémoire, même pour les grandes figures.
Pour revenir à moi, je me retrouve seul comme à mes vingt ans mais je m'en fous. Royalement.

Seul dans le berceau, seul dans le tombeau.


Je me suis reposé, j'étais un peu vanné par la journée de vendredi.
Mais je suis tout de même sorti : dès 16h30, je suis allé à la Fnac de Saint-Lazare, je me suis offert 3 cds et un dvd. Puis je suis allé payer ma place de ciné à 3,80 € au Gaumont Opéra, voir
Sex and the City 2, oui, je sais c'est un girly movie mais j'y suis allé pour y voir Alice Eve (une jeune actrice britannique de 28 printemps qui hante mes nuits). Entre-temps, je suis allé donc trinquer, accoudé au zinc du bar dont je n'oublie pas le nom, Au Soleil Levant, en attendant la séance de 21h15
Parker Lewis : note pour plus tard, il devient vraiment urgent de gagner un peu plus de thune pour me payer un véhicule, même une petite citadine d'occase, car le retour d'après-minuit en train, ça devient de plus en plus limite. Trois gros coups de pied dans le cul me seraient salutaires… [Perso]
Liste des cds :
Britney Spears Circus
Labo – M -
AC-DC
Highway to Hell (acheté une 1ère fois à 18 € puis revendu puis racheté à 7 €...)
le dvd de - M – Le tour de – M –
Oui, je me suis fait plaisir en ce temps de crise.
Cela me fait un bien un peu fou de repasser dans le boulevard des Italiens pour les cinémas, pourtant je ne suis plus du tout enclin à hanter le coin, j'évite de marcher sur les plates-bandes des touristes et des rupins. Et surtout de croiser la semi-caillera francilienne, qui devient tout aussi hautaine que la jeunesse dorée, croisée en ces mêmes lieux. Lieux de transition, lieux de passage.
Si la Tiffany en question (la franco-pakistanaise de LA, en photo) lit au hasard ce post, je la salue bien bas. Et lui donne un baiser virtuel, là où cela lui plaira.

Jean

vendredi 30 avril 2010

Bidon

Pour une somme avoisinant (peut-être) les 5000 €, qu'auriez-vous fait si un photographe vous proposait une paparazzade mettant en scène un faux suicide ?
Et puis ? Le "candidat au suicide" incriminé n'est peut-être pas aussi bon comédien et visiblement, le sera jamais. Manque total de spontanéité devant un objectif photo. Une maquilleuse pour intervenir pour un faux suicide pour le compte d'une fameuse revue people pour empocher une "coquette" somme frôlant la dizaine de milliers d'euros. Je ne suis pas journaliste, je ne serai pas du tout payé pour ce que j'écrirai mais… je trouve le geste plutôt glauque. Le jeune homme ne vole personne; certes, il n'a fait de mal à personne – enfin, pour le moment –, il n'est pas dealer mais c'est réellement abusé d'être payé pour ce genre de choses. Et gonflé. Tout ça peut-être pour manque de popularité… Besoin d'acclamation chronique, de vivats, servie sur plateau (télé).
C'est sûr, ce n'est pas bien de monopoliser l'attention d'une infirmière ou d'un médecin en exercice, tout ça, pour quoi ? Des photos bidon qui attireront un très large public en proie de sensationnel pour peu qu'il apprécie concrètement de se faire voler son argent. Vous n'achetez pas ce genre de presse et vous avez sans doute raison.

Pas bien catholique, tout ça !

En fait, le but du jeu est de vendre à un lectorat majoritairement féminin qu'il est nécessaire de rassurer avec ce genre d'article à la con : Votre vie est bien meilleure que la leur… La bonne excuse. Tout ça pour une une de couverture perdue qu'à l'heure actuelle, les "connus" négocient leurs interviews. La télé réalité n'a pas fini de nous étonner. Je ne crache rai pas sur l'argent proposé, sur s'il dépasse largement les 5000 € mais pas pour ce genre de mise en scène, pas pour ça.

Pendant ce temps, monsieur, madame ou mademoiselle Toutlemonde prend sa voiture, le train, le bus pour étudier, ou gagner sa vie. ET parmi la foule, des personnes qui sont en réelle souffrance, même si les apparences restent parfois trompeuses, d'autres mettent leur vie en péril. Et d'autres mettent fin à leur vie.

Pour de vrai, sans maquilleuse, ni objectif pour bien capter l'expression du visage.

JC

lundi 19 avril 2010

DJ Maeva Carter

DJ Maeva Carter, ex-candidate de l''Île de la tentation # ?

En cette fin de mois d'avril, certains d'entre vous ne sembleront pas échaudés par l'imminente diffusion de l'Île de la Tentation, je ne suis même plus l'ordre puisque moi-même, je ne suivais pas tellement cette émission. Pourquoi faire, cela m'apporterait quoi, cela vous apporterait quoi ? En fait, l'émission, je la suivais en tombant sur les unes de couvertures plastifiées où s'affichaient quasiment toutes les candidates les mieux gâtées par la Nature ou la chirurgie.
L'Oncle Sam avait les playmates de Playboy et les filles de Hustler, la perfide Albion – le Royaume-Uni – avait les filles de la Page 3. Nous, en France, avons désormais les anciennes candidates de télé-réalité et les Miss de province dévergondées. Là, je vous parlais de presse écrite masculine non racoleuse (si, si) pour un sou.
Là, je voulais en fait (pour mon plaisir perso) dresser le portrait d'une ancienne candidate du jeu précité plus haut, Maeva Carter (ex-Atkinson M…), montpelliéraine de 25 ans, ayant participé à la saison 7 (?) de l'ÎdlT. Que je ne regarderai peut-être pas même pour la nièce de Sophie Favier, Jennifer de son doux prénom…
En ce matin d'avril, je viens de découvrir Maeva Carter (ou Atkinson) et m'étonnai du mystère épais qui entoure encore à ce jour une aussi jolie et jeune femme qui coiffe désormais la casquette de deejay (elle semble insister à l'orthographe) après celles de mannequin et modèle photo et d'apprentie comédienne. Un mystère des plus opaques car son blog n'annonce en rien son quotidien, ses joies, ses doutes, ses impressions sur ce drôle de milieu où Maeva fait objet sans doute objet de toutes les attentions, les sollicitations (Directrices de casting ? Gérants de disco ? Admirateurs/trices pas-tentées ? Parasites en tous genre ?) Une adresse email, un portable, des photos de la daronne bien-aimée plus le copain (pas si petit que ça) sur son profil Myspace.

Ceci n'est pas une attaque, c'est une lettre de découverte et de nouvelle admiration inversée pour ne pas (plus) aller dans le sens du poil. C'est que Maeva, jusqu'à ce matin, je ne savais même pas qui c'était… J'avais juste entendu parler d'une énième Maeva, point barre. Je reste sur ma faim sur un drôle de parcours que je juge exemplaire et singulier avec deux doigts de narcissisme appuyé(s) – le narcissisme, pas les doigts – et je suppose qu'après un bon calcul sur la trajectoire, le public français, les fans de dance et de clubbing finiront bien par entendre parler de cette deejay française – GirlPower !!! - quand tu vois le nombre de candidates qui souhaitent ou qui finissent comme comédiennes, chanteuses, actrices de films X, mères de famille, chefs d'entreprises, invitées martyres après le journal de 13 h sur France 2, etc.
Je parie peut-être sur ce numéro-là. Mlle Carter doit tout de même avoir la niaque pour parvenir à ses objectifs... La motivation pour être autre chose qu'une belle plante...

Trois éléments qui ont attiré mon attention, je n'ai fait aucune attention à son physique… Je n'y prête toujours pas attention au final. C'est vrai, des tentatrices, il y en avait plein depuis le tout-début.

- S son département de naissance : l' Hérault

- S son aptitude de passer de "bimbo" à deejay honorable (voir son facebook et ses trois profils myspace, trois).

- L le mystère qui entoure son parcours : "…autre chose à foutre que de tenir un blog pour raconter mon boulot de deejay, mes déboires de modèle-photo, les coulisses de l'Île (non pas les coulisses, c'est dans le contrat), les relous qui m'abordent après m'avoir lue sur Entrevue ou vue sur TF1 chez Cauet…"
Visiblement, la dame semble avoir, depuis le tout-début de sa carrière, des journées drôlement bien chargées… J'oublie Twitter mais pour promouvoir son art, saura t-elle au moins s'en servir autrement que comme une carte de visite ?!

Moi, qui croyais connaître l'essentiel comme le commun des mortels plus ou moins agglutinés sur les pages people et télé, ce jeu-là, précisément, je n'en avais rien à f...

M'enfin...
* Même si tu apprécies 2 lire un article avec une photo qui n'appartient pas à l'auteur, ne compte pas sur moi pour lui en voler une. Moteur de recherche, Maeva Carter. voilà.

samedi 17 avril 2010

L'échéance se rapproche

Voilà, pour le recueil, c'est presque ça. Je vois déjà le bout du tunnel concernant la conception, l'écriture, les dénouements à placer à chaque nouvelle. Le titre restera probablement le même décidé depuis le tout début. Je suis allé voir le twitter de la plate-forme chez laquelle je devrais faire télécharger le fichier et j'y ai trouvé une page consacrée à Bernard Werber, prodiguant des conseils pour bien débuter un roman. La seule chose avec laquelle je reste d'accord avec lui, c'est le statut d'écrivain populaire. Je pense avoir là où il voulait en venir. Mais qui sont donc ces gens qui croient tout savoir et décider à la place du public, quels sont les meilleurs livres à lire... ?
Bref, c'est un avis que je reçois comme une petite leçon. Pour le reste des recommandations, je reste plutôt circonspect, quant à la véracité de certaines. Puis quand je le vois répondre ou intervenir à la télévision, je ne chercherai pas plus loin mais je respecte tout de même le monsieur.
Le livre en auto-publication, c'est pour bientôt, même si j'ai l'impression que c'est de l'édition à compte d'auteur (d.)

lundi 12 avril 2010

Trop froid dans le RER

Pardon pour le langage ordurier mais ça commence sincèrement à me casser les couilles de me retrouver à payer 91,70 € (3 zones) pour le chargement mensuel de mon Navigo, de devoir prendre le vieux train gris (super bien -) chauffé depuis Gros Noyer - Saint-Prix (gare d'Ermont limitrophe à Saint-Prix, donc) pour arriver à Paris-Nord, puis enchaîner par la ligne B du RER et me retrouver dans un intérieur de train froid qui avoisine sans mentir 1,5° entre décembre et la mi-avril. A 6h06.
PUTAIN 2 MERDE !!!! Vous faites grève, OK mais une fois le service minimum rendu, en trafic normal, arrêtez de défavoriser un public (ou une clientèle, selon) pour en favoriser un(e) autre. Ce n'est déjà pas marrant de devoir se lever tôt le matin pour être payé au lance-pierre, pour un salaire de couillon, quoi et de se retrouver parmi cette France d'en bas qui doit certainement se casser le dos ou les bras, par rapport à la même France avec un tout autre profil, l'officiel, le vrai, qui envahira tous les quais franciliens dans l'heure et demie qui suit.
S'il vous plaît, monsieur le directeur de la ligne B du RER, le service technique attitré à cette tâche peut-il faire des efforts pour que le chauffage devienne effectif dès la première rame ?
Merci d'avance pour les usagers qui empruntent le labyrinthe du RER sur Paris intra-muros.

dimanche 11 avril 2010

Filmographie d'Isabelle Alexis

  1. Tristan (2003) .... Claire
  2. Sexes très opposés (2002) .... L'amie de Rémi
  3. Les gens en maillot de bain ne sont pas (forcément) superficiels (2001) .... La jeune femme au bar

  4. "H" (1 Episode, 1999)
    -
    Une histoire de père (1999) Episode TV
  5. À cause d'Olivia... (1999) (voix) .... Olivia
  6. "La crim'" .... Martine (1 Episode, 1999)
    -
    La part du feu (1999) Episode TV .... Martine
  7. Pour mon fils (1998) (TV) .... Valérie
  8. Didier (1997) .... Barbara
  9. Les victimes (1996)
  10. Fantôme avec chauffeur (1996) .... La blonde dans la cabine d'essayage
  11. Golden Boy (1996) .... La shampouineuse
  12. Les trois frères (1995) .... La secrétaire de CRM
  13. La leçon de plaisir (1995) (TV) .... Suzy
  14. "Les cinq dernières minutes" (1 Episode, 1995)
    -
    Mort d'un géant (1995) Episode TV
  15. "Nestor Burma" .... Romane (1 Episode, 1995)
    ... autre titre : "Une aventure de Nestor Burma" - France
    (titre alternatif)
    -
    L'homme au sang bleu (1995) Episode TV .... Romane
  16. Pourquoi maman est dans mon lit? (1994)
  17. Cache Cash (1994)
  18. Flics de choc: Le dernier baroud (1994) (TV)
  19. Montparnasse-Pondichéry (1994)
  20. La soif de l'or (1993)
  21. Room Service (1992)
  22. Le bal des casse-pieds (1992)

Le mystère Isabelle Alexis



Je suis tombé un peu hasard, au détour d'une recherche sur Paris Dernière, et je suis tombé sur une photo de couverture d'un livre d'Isabelle Alexis. Comédienne, écrivain... J'ai tenté de rechercher des renseignements, pleins de photos, une couverture pour Playboy mais sa biographie semble totalement inexistante. Aucune info sur sa date et son lieu de naissance. Le mystère total alors cette actrice semble avoir un certain nombre de long-métrages et écrit plus de quatre romans à son actif. Bon, et à la limite, est-ce bien important ?! La femme ne cherche visiblement pas à se mettre réellement en avant. Pas même en mensonge...
Dans le même temps, pas vilaine du tout, la dame.
J'avais beaucoup apprécié le film tiré de son livre, Tu vas rire mais je te quitte... Faudrait qu'un jour ou l'autre, je me mette à lire ses livres, s'ils semblent tout aussi intéressants. A travers ses écrits, j'en apprendrai un peu plus...

dimanche 28 mars 2010

Questionnaire

Je me suis amusé moi aussi à répondre au fameux questionnaire de Sophie Calle & Grégoire Bouillier des Inrocks.

1. Quand êtes-vous déjà mort ?
C'est déjà loin, tout ça...

2. Qu'est qui vous fait lever le matin ?
Mes enfants (oui, deux. Pour le moment...)

3. Que sont devenus vos rêves d'enfant ?
Un cauchemar

4. Qu'est-ce qui vous distingue des autres ?
J'estime ne pas avoir des goûts de chiotte, niveau culturel. Par contre, question chiffon...

5. Vous manque t-il quelque chose ?
Juste une bagnole - je trouve assez facilement l'inspiration sur le périph'

6. Pensez-vous que tout le monde puisse être artiste ?
Non.

7. D'où venez-vous ?
Gwadada ... et Ménilmontant, Quartier du Pére Lachaise (XXéme, représente) puis 93800 (toujours).

8. Jugez-vous votre sort enviable ?
Sûrement pas, à l'heure actuelle.

9. A quoi avez-vous renoncé ?
Faire de la figuration pour des pubs, des clips. Sinon acheter une bagnole...

10. Que faites-vous de votre argent ?
On me le vole pour le moment.

11. Quelle tache ménagère vous rebute le plus ?
Je ne vois pas pour le moment.

12. Quels sont vos plaisirs favoris ?
Votre revue a t-elle une version pour adultes ? la réponse reste olé-olé, sinon surfer, visionner un bon nanar ou "eating a beaver" (j'avais prévenu, ha ha ha).

13. Qu'aimeriez-vous recevoir pour votre anniversaire ?
Une enveloppe avec plein de vrais billets de banque à l'intérieur - j'aime préciser.

14. Citez trois artistes vivants que vous détestez le plus ?
Laurent Gerra. Pam Anderson ? Je ne comprends toujours pas l'engouement planétaire pour un concept pareil, surtout lorsque je vois son ex qui passe sur TF1... Et ... euh... Snoop Dogg car il m'a refusé comme "ami" sur myspace. Mais j' me tape tout de même ses dernières daubes.

15. Que défendez-vous ?
Comme cause ? La lutte contre le sida.

16. Qu'êtes-vous capable de refuser ?
... Tourner un gonzo.

17. Quelle est la partie de votre corps la plus fragile ?
Mon pénis, justement.

18. Qu'avez-vous été capable de faire par amour ?
Me déplacer pour rien. Le fais souvent, ça.

19. Que vous reproche t-on ?
De ne pas faire marcher mon intelligence ou de ne pas bien articuler mes mots.

20. A quoi vous sert l'art .
A m'exprimer - What else ?! Sinon, pour pécho, ce doit être pas mal non plus.

21. Rédigez votre épitaphe.
Ci-gît l'unique Luc Philogyne, le bien-nommé. Consumériste sans argent (ni or) et érotomane contrarié.

22. Sous quelle forme aimeriez-vous revenir ?
Une forme animale, une pieuvre. J'aime beaucoup l'odeur des fruits de mer.

(sans titre)

Je devais me décider pour faire un tour au Salon du Livre de Paris... Irai, n'irai pas ? Question de thunes, ce mois-ci, je dois faire hypergaffe aux dépenses superflues et j'ai le manuscrit qui ne finit pas, la page blanche ou c'est la satanée relecture de certains passages qu'il me faut réécrire. Enfin, je ne devrais pas vraiment me précipiter car je souhaite (impérativement ?) l'auto-publier cette année. Ce n'est pas réellement une question de vie (ou de mort) mais le temps est un adversaire redoutable et cet embryon d'idée qui m'est apparu un fameux dimanche soir de janvier 2008 doit voir le jour. Enfin, j'aimerais passer à autre chose, d'ici début 2011. Même si je devais auto-publier le prochain livre en 2012, mais ça c'est déjà une autre affaire.

samedi 20 février 2010

Un début de week-end ordinaire

Jeudi, en fin d'après-midi, si ce n'est pas en début de soirée, je me suis enfilé un quart de piña colada Old Nick pour oublier un peu mes déconvenues sentimentales. D'abord la rupture de communication d'avec JoJo. J'en avais plus qu'assez de ses silences et des lapins posés, chaque fois que je cherchais à la voir. Et ça, ça me saoulait grave, j'aurais préféré qu'elle m'annonce simplement que c'était fini depuis le temps qu'elle cherchait à me fuir. Je m'en foutais, c'est vrai, de cette relation mais si tu cherches à rompre, fais-le proprement... Selon la règle, si tu es une fille droite dans tes bottes.

Puis cette Russe que je soupçonnais d'être une scameuse qui semblait répondre au compte-gouttes sans attendre quoi que ce soit à moins que ce soit mon blé. Si je ne prenais pas la peine de répondre 2 ou 3 fois à son mail du jour, silence radio. Alors, j'ai opté pour la radiation à vie sur ma liste de contacts MSN. Des fois que je serais tombé sur une scameuse et pourtant, cette personne, je l'avais repérée simplement sur mon profil myspace, pas dans un site web de rencontres... Une scameuse de première, sans gros tralals. Déclaration dès le huitième mail. Je décidais d'arrêter les frais (enfin, façon d dire)... Pour ne pas attendte le fatidique service à rendre pour [me] payer le voyager pour te rejoindre. Ou sav' on bitin, mwen pani lajan-la...

Hier, après le boulot, petite balade en bus, le 28. Même si le porte-à-porte semblait plus long qu'à l'accoutumée depuis le travail. Je traverse Montparnasse, les Invalides. Vraisemblablement pas mes quartiers, je constate un nombre minime mais évident de baux à céder, le long du 8ème, peu avant d'arriver à la gare St-Lazare... Je m'empresse illico de rentrer et de faire preuve de prudence pour enfin m'étendre sur le gonflable. Même si dehors, la pluie menance de tomber. Tomber.
Aujourd'hui, aucune sortie.

dimanche 14 février 2010

Petit mot doux de la saint-Valentin

Put*** de merde ! mais qu'est-ce qui pousse Amandine Sintomer, l'un des mannequins de charme les plus sollicités de la place à maintenir cette espèce d'androphobie non fondée qui emmerde tout le monde ?!
Le 69, ça m'énerve, je préfère sucer tranquille... Pour moi, les mecs qui draguent dans la rue sont des blaireaux...
Et les conseils à deux balles dans les pages de Maximal qui m'ont ont éloigné de la revue... Je ne déchire pas les pages incriminées. Je n'emmerde personne avec ma philogynie contrariée et je reste inconnu, à ma place, merde. Ou la miss a eu de gros problèmes avec les garçons dans son adolescence (des petits enculés qui ne savent pas se montrer compréhensifs avec une fille qui leur dit non, il y en a) ou alors, c'est un jeu de rôle pour emmerder le monde, et ça, ça risque d'en énerver un nombre dont moi. La célébrité monte excessivement vite à la tête mais il faudrait parfois réfléchir avnt d'avancer des bêtises pareilles. Même quand, on apparaît assez souvent à la télé (Paris Dernière, par exemple). A moins de savoir lire entre les lignes et ne pas croire ce que disent les journaux (certains déforment tous vos propos, à ce qu'il paraît - cela pourrait arriver un jour si un journaliste venait à fouiller mes écrits sur la Toile - je prends mes responsabilités). Mais pour une ancienne attachée de presse qui tient un blog assez intéressant, c'est quand même assez décalé de laisser publier autant de conneries.
Faudrait tout de même faire attention à ce que vous dites, miss Sintomer
Bonne saint-valentin.
PS : moi aussi, je t'emmerde !