Hier, ce samedi 12 juin 2010, c'était le jour de mes 40 ans. Anniversaire de mes 40 printemps célébrés tout seul, mais vraiment seul. J'ignore encore ce que signifie la crise de la quarantaine mais je m'en fous. Je n'ai pas d'ami pour me téléphoner ou me souhaiter le moindre vœu. C'est sûr que tu as beau te dévouer pour les autres, tu te retrouves tout seul devant un verre de Saint-Omer dans un troquet de la place de la République, dans ce même arrondissement qui m'a vu naître, quatre décennies pile plus tôt. J'ignore de ce qu'adviendra (je recherche la bonne définition) de mon projet littéraire, j'y travaille sérieusement sans trop laisser distraire ni par la musique, et surtout pas, par le net, ces maudits réseaux sociaux qui happent ton attention. J'ignore aussi qui prêtera attention à mon blog, cela ne me dérangera pas d'écrire dans le vide, les gens prétendent que le monde est petit. Tu m'as reconnu ? OK, je te remercie d'avoir lu mes lignes et toi qui me connais réellement, si cela te fait rire, eh bien, tant mieux, ne t'attends pas à lire un message kikoulol...
J'ai parfois le cœur noir comme l'abysse et dur comme la glace, sans le crier trop fort sur les toits.
Je trouve même écœurant qu'une ancienne personnalité de la télévision française comme Denise Glaser soit enterrée sans que le monde des arts et du spectacle lui rendu un dernier hommage digne de ce nom. Les peuples n'ont vraiment pas de mémoire, même pour les grandes figures.
Pour revenir à moi, je me retrouve seul comme à mes vingt ans mais je m'en fous. Royalement.
Je trouve même écœurant qu'une ancienne personnalité de la télévision française comme Denise Glaser soit enterrée sans que le monde des arts et du spectacle lui rendu un dernier hommage digne de ce nom. Les peuples n'ont vraiment pas de mémoire, même pour les grandes figures.
Pour revenir à moi, je me retrouve seul comme à mes vingt ans mais je m'en fous. Royalement.
Seul dans le berceau, seul dans le tombeau.
Je me suis reposé, j'étais un peu vanné par la journée de vendredi.
Mais je suis tout de même sorti : dès 16h30, je suis allé à la Fnac de Saint-Lazare, je me suis offert 3 cds et un dvd. Puis je suis allé payer ma place de ciné à 3,80 € au Gaumont Opéra, voir Sex and the City 2, oui, je sais c'est un girly movie mais j'y suis allé pour y voir Alice Eve (une jeune actrice britannique de 28 printemps qui hante mes nuits). Entre-temps, je suis allé donc trinquer, accoudé au zinc du bar dont je n'oublie pas le nom, Au Soleil Levant, en attendant la séance de 21h15
Parker Lewis : note pour plus tard, il devient vraiment urgent de gagner un peu plus de thune pour me payer un véhicule, même une petite citadine d'occase, car le retour d'après-minuit en train, ça devient de plus en plus limite. Trois gros coups de pied dans le cul me seraient salutaires… [Perso]
Mais je suis tout de même sorti : dès 16h30, je suis allé à la Fnac de Saint-Lazare, je me suis offert 3 cds et un dvd. Puis je suis allé payer ma place de ciné à 3,80 € au Gaumont Opéra, voir Sex and the City 2, oui, je sais c'est un girly movie mais j'y suis allé pour y voir Alice Eve (une jeune actrice britannique de 28 printemps qui hante mes nuits). Entre-temps, je suis allé donc trinquer, accoudé au zinc du bar dont je n'oublie pas le nom, Au Soleil Levant, en attendant la séance de 21h15
Parker Lewis : note pour plus tard, il devient vraiment urgent de gagner un peu plus de thune pour me payer un véhicule, même une petite citadine d'occase, car le retour d'après-minuit en train, ça devient de plus en plus limite. Trois gros coups de pied dans le cul me seraient salutaires… [Perso]
Liste des cds :
Britney Spears Circus
Labo – M -
AC-DC Highway to Hell (acheté une 1ère fois à 18 € puis revendu puis racheté à 7 €...)
le dvd de - M – Le tour de – M –
Labo – M -
AC-DC Highway to Hell (acheté une 1ère fois à 18 € puis revendu puis racheté à 7 €...)
le dvd de - M – Le tour de – M –
Oui, je me suis fait plaisir en ce temps de crise.
Cela me fait un bien un peu fou de repasser dans le boulevard des Italiens pour les cinémas, pourtant je ne suis plus du tout enclin à hanter le coin, j'évite de marcher sur les plates-bandes des touristes et des rupins. Et surtout de croiser la semi-caillera francilienne, qui devient tout aussi hautaine que la jeunesse dorée, croisée en ces mêmes lieux. Lieux de transition, lieux de passage.
Si la Tiffany en question (la franco-pakistanaise de LA, en photo) lit au hasard ce post, je la salue bien bas. Et lui donne un baiser virtuel, là où cela lui plaira.
Jean
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