La ferme ! aussi pour miss Cécile Belina.
mercredi 16 juin 2010
mardi 15 juin 2010
Le résumé du bouquin...
Je viens de rédiger le résumé du tapuscrit (enfin !) mais en espérant tout de même que cela restera tangible quant au reste du projet.
Deux amis d'enfance qui vivent leur sexualité un peu hors-normes dans un contexte peu approprié aux amours non-conventionnelles, une jeune adolescente, plutôt bonne élève mais mal dans sa peau, qui caresse son désir de fan assise face à son idole et redécouvre l'amour dans une situation des plus idylliques, un jeune couple foudroyé en plein bonheur à cause du chômage à l'heure où la meilleure amie de la fille s'apprête pour un choix pour le moins singulier. Tel est le propos de ces trois histoires qui composent Petites chroniques du nord parisien. Une autre façon de voir la banlieue parisienne. De l'autre côté du périphérique, en empruntant une autre voie, du côté de celles ou ceux qui ne semblent pas aussi mal partis dans la vie mais qui vivent tout mal une certaine différence vis-à -vis d'une majorité écrasante...
Ce texte est la propriété de Jean-Marc Lamothe dit Luc Philogyne.
Ce texte est la propriété de Jean-Marc Lamothe dit Luc Philogyne.
dimanche 13 juin 2010
PCNP, bientôt...
Je ne suis pas loin de finir le tapuscrit, enfin les dernières lignes ont été écrites, c'est le résumé qui me pose un gros, gros problème. Mais d'ici... (?) les choses se préciseront d'ici le tout-début de cet été 2010, si je saisis correctement l'étape importante. Après, tout sera qu'une question de temps et de travail (de longue haleine). Faire ce qu'il faut pour que - vous - vous en parlez, vous m'en parlez.
12 juin 2010, suite ou fin ?
Pour revenir brièvement à la personnalité disparue évoquée (plus bas), je prends surtout note que dans ce pays, il ne faut trop s'étendre sur ses choix politiques. Tout semble se passer dans l'isoloir. Et visiblement non devant un objectif. Je remplis mes devoir de citoyen et c'est tout. Cela s'arrêtera là. Aucun regard à droite, vaguement à gauche et au centre. rien à l'horizon qui semble sinueux et hasardeux aux deux extrêmes... Fin de parenthèse.
12 juin 2010
Hier, ce samedi 12 juin 2010, c'était le jour de mes 40 ans. Anniversaire de mes 40 printemps célébrés tout seul, mais vraiment seul. J'ignore encore ce que signifie la crise de la quarantaine mais je m'en fous. Je n'ai pas d'ami pour me téléphoner ou me souhaiter le moindre vœu. C'est sûr que tu as beau te dévouer pour les autres, tu te retrouves tout seul devant un verre de Saint-Omer dans un troquet de la place de la République, dans ce même arrondissement qui m'a vu naître, quatre décennies pile plus tôt. J'ignore de ce qu'adviendra (je recherche la bonne définition) de mon projet littéraire, j'y travaille sérieusement sans trop laisser distraire ni par la musique, et surtout pas, par le net, ces maudits réseaux sociaux qui happent ton attention. J'ignore aussi qui prêtera attention à mon blog, cela ne me dérangera pas d'écrire dans le vide, les gens prétendent que le monde est petit. Tu m'as reconnu ? OK, je te remercie d'avoir lu mes lignes et toi qui me connais réellement, si cela te fait rire, eh bien, tant mieux, ne t'attends pas à lire un message kikoulol...
J'ai parfois le cœur noir comme l'abysse et dur comme la glace, sans le crier trop fort sur les toits.
Je trouve même écœurant qu'une ancienne personnalité de la télévision française comme Denise Glaser soit enterrée sans que le monde des arts et du spectacle lui rendu un dernier hommage digne de ce nom. Les peuples n'ont vraiment pas de mémoire, même pour les grandes figures.
Pour revenir à moi, je me retrouve seul comme à mes vingt ans mais je m'en fous. Royalement.
Je trouve même écœurant qu'une ancienne personnalité de la télévision française comme Denise Glaser soit enterrée sans que le monde des arts et du spectacle lui rendu un dernier hommage digne de ce nom. Les peuples n'ont vraiment pas de mémoire, même pour les grandes figures.
Pour revenir à moi, je me retrouve seul comme à mes vingt ans mais je m'en fous. Royalement.
Seul dans le berceau, seul dans le tombeau.
Je me suis reposé, j'étais un peu vanné par la journée de vendredi.
Mais je suis tout de même sorti : dès 16h30, je suis allé à la Fnac de Saint-Lazare, je me suis offert 3 cds et un dvd. Puis je suis allé payer ma place de ciné à 3,80 € au Gaumont Opéra, voir Sex and the City 2, oui, je sais c'est un girly movie mais j'y suis allé pour y voir Alice Eve (une jeune actrice britannique de 28 printemps qui hante mes nuits). Entre-temps, je suis allé donc trinquer, accoudé au zinc du bar dont je n'oublie pas le nom, Au Soleil Levant, en attendant la séance de 21h15
Parker Lewis : note pour plus tard, il devient vraiment urgent de gagner un peu plus de thune pour me payer un véhicule, même une petite citadine d'occase, car le retour d'après-minuit en train, ça devient de plus en plus limite. Trois gros coups de pied dans le cul me seraient salutaires… [Perso]
Mais je suis tout de même sorti : dès 16h30, je suis allé à la Fnac de Saint-Lazare, je me suis offert 3 cds et un dvd. Puis je suis allé payer ma place de ciné à 3,80 € au Gaumont Opéra, voir Sex and the City 2, oui, je sais c'est un girly movie mais j'y suis allé pour y voir Alice Eve (une jeune actrice britannique de 28 printemps qui hante mes nuits). Entre-temps, je suis allé donc trinquer, accoudé au zinc du bar dont je n'oublie pas le nom, Au Soleil Levant, en attendant la séance de 21h15
Parker Lewis : note pour plus tard, il devient vraiment urgent de gagner un peu plus de thune pour me payer un véhicule, même une petite citadine d'occase, car le retour d'après-minuit en train, ça devient de plus en plus limite. Trois gros coups de pied dans le cul me seraient salutaires… [Perso]
Liste des cds :
Britney Spears Circus
Labo – M -
AC-DC Highway to Hell (acheté une 1ère fois à 18 € puis revendu puis racheté à 7 €...)
le dvd de - M – Le tour de – M –
Labo – M -
AC-DC Highway to Hell (acheté une 1ère fois à 18 € puis revendu puis racheté à 7 €...)
le dvd de - M – Le tour de – M –
Oui, je me suis fait plaisir en ce temps de crise.
Cela me fait un bien un peu fou de repasser dans le boulevard des Italiens pour les cinémas, pourtant je ne suis plus du tout enclin à hanter le coin, j'évite de marcher sur les plates-bandes des touristes et des rupins. Et surtout de croiser la semi-caillera francilienne, qui devient tout aussi hautaine que la jeunesse dorée, croisée en ces mêmes lieux. Lieux de transition, lieux de passage.
Si la Tiffany en question (la franco-pakistanaise de LA, en photo) lit au hasard ce post, je la salue bien bas. Et lui donne un baiser virtuel, là où cela lui plaira.
Jean
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