samedi saint (suite)

Oui, je ...
Je n'ai aucun problème avec la vie que je mène mais même si je n'ai besoin d'un élément matériel pour me sentir bien, je devrais tout 2 même tenter de forcer des portes pour réussir ma vie. je vais avoir 39 ans, puis si Dieu le veut, 40. En juillet prochain, je me rends en Guadeloupe, Valoche et les enfants me rejoindront.Mais quelles réponses obtiendrai-je durant ce séjour ? J'ai attendu sans le vouloir 10 ans pour revenir en congé à Petit-Bourg mais j'aurais pu (et dû) me décider de faire l'effort de revenir deux ans, trois ans après mon départ définitif vers la métropole. Dès ce 1er retour, je serai décidé de revenir une fois de plus avant que ma mère ne ferme les yeux. mais j'ai tout 2 même perdu du temps. Je n'ai jamais pu acheter une deuxième voiture car aujourd'hui, malgré les dépenses que tout cela entraîne, j'en ai besoin... J'ai besoin de plus d'euros dans mes comptes bancaires. Matérialiste ? Peut-être mais en ce moment, qui ne l'est pas actuellement ?! Tout ce cirque me saoûle, tabernacle ! Punaise ! Je ne dois pas sombrer dans l'abîme et me retrouver sans rien, dénué de tout, pour de mauvaises raisons. En bas. je n'ai jamais été jaloux de qui que ce soit, je ne suis pas prétentieux et je me fous de ce que le voisin détient. Je serais même bien pour lui, en espérant d'avoir la même chose.

samedi saint 2009

(Mince, je n'ai pas pu adresser la parole pour Alinka, histoire d'entamer un plus long dialogue en toute amitié... Ce n'est que partie remise mais deux semaines... Ca va faire un peu long sans elle, j'aurais bien entamé une conversation en toute amitié, il y a des personnes avec qui j'aurais voulu prendre contact, quelque soit l'issue de mon parcours professionnel... Elle est plaisante mais sans plus.)
A chaque veille de congés secolaires, jeme lance à corps perdu sur mon blog du moment, là je n'ai pas de note à laisser si ce n'est que... hier, j'ai rencontré une connaissance de mon quartier avec qui j'ai eu une discussion vraiment enrichissante (et encourageante, par bien des points) c'est Vendredi Saint, je n'ai pas vraiment suivi le carême comme il le fallait, déjà que je ne le suivais pas souvent en Guadeloupe... Maintenant, je sais que le nerf principal de la vie, c'est de tenir. Tenir. Avancer. Coûte que coûte. Et prier, toujours.
Je n'ai pas franchement l'impression d'être passé à côté de pas mal de choses. je n'ai pas de Rolex, ni la Scénic de mes rêves... je m'en fous un peu mais je réussirai d'une manière ou d'une autre. J'y ai pensé très fort, jeudi, lorsque j'ai voulu rendre visite improptue à JoJo (Chardonay)*. JoJo... Alinka... (ceci n'est pas encore fait mais j'y pense très fort)... A ce moment-là, il me fallait une voiture, une Renault... pour porter mes affaires et rentrer à la maison... Eviter les transports en commun, chiant de chez chiant. Se battre, mais pas physiquement. Je dois m'assagir, éviter de me mettre en colère... pas envers tout le monde, en tout K.

Ouais, tenir, je voulais à ce moment-là... Un navigateur GPS, une paire de FutureCat (Puma), voilà c'est tout et un nouveau téléviseur HD. Le parcours Neuilly s/ Marne - Ermont paraît trop long en rer, train, à pied...

PS : je pense beaucoup à toi, Chardonay.

Surfer plus pour gagner plus...

(Article rédigé sur Le Monde.fr)
Le Net est-il l'ennemi de la productivité au bureau ? Oui, répondent les chefs d'entreprise qui dépensent des sommes folles en logiciels de filtrage. Dans la plupart des grandes entreprises, les messageries ou les réseaux sociaux sont prohibés. Certains n'ont pas hésité à faire du surf personnel un motif de licenciement. Lire la suite l'article
Selon une étude du Dr Coker, du département 'Management et marketing' de l'université de Melbourne en Australie, c'est tout le contraire. Il a étudié les comportements de trois cents salariés quant à leurs habitudes de navigation au bureau. Selon ses résulats, les salariés qui surfent à des fins personnelles sont environ 9 % plus productifs que les autres.
'De courtes et discrètes pauses, comme un petit tour sur Internet, permettent à l'esprit de se reposer, donc de favoriser la concentration lors d'une journée de travail, et au final, d'accroître la productivité', argumente Brent Coker dans un document intitulé 'Freedom to surf', diffusé par le site Internet de son université.
La consultation des sites les plus prisés au bureau réseaux sociaux, sites d'information en ligne, de shopping ou de vidéos ne doit pas, toutefois, dépasser une 'limite raisonnable'. Limite que le Dr Brent fixe à 20 % du temps de travail. Ce qui fait tout de même plus d'une heure et demie de surf pour une journée de 8 heures.

Moi, je ne surfe au bureau, je ne travaille pas dans un bureau... (je n'ai qu'un fax à dispo... lol) mais j'avoue être un wilfer (chez moi) - sans rire ! Et cela ne me rapporte rien du tout, pas un cent.