mardi 14 février 2012

(sans titre)

Cette année, j'ignore encore quelle sera l'issue au bout des onze mois et demi qui s’écouleront assez lentement, je la sens assez pesante, pas longue mais pesante comme année. Au travail, il y en une qui doit actuellement me prendre pour un paillasson dans le taf où je me trouve. J'ai autre chose à foutre que de foutre dans la gueule des gens. Je prends suffisamment cher pour les deux dernières activités en restauration scolaire. J'ai vraiment envie de décrocher ou de faire annuler ce putain de sa mère de certificat de travail avec lequel, visiblement, je me suis fait enculer. Je ne suis pas cuisinier, je ne me sens pas cuisinier, mais si je voulais me forcer, je n'y arriverais pas et je ne le sens pas. En janvier 2004, j'avais accepté cette merde de boulot, car je venais de mettre en couple et que j'avais un putain de sa mère de loyer à payer. 7, 8 mois que je ne bossais plus en intérim. Enfin 7 mois, si je compte le mois effectué en décembre 03 dans un entrepôt pourrave d'Argenteuil, où au final, je n'étais pas si mal. Putain, 8 ans, 8 superbes années où je me suis fait chier comme  ce n'est pas permis. Et j'en ai pris plein la gueule pendant tout ce temps. Est-ce marqué sur mon karma que je dois en prendre pour autant de temps ? Mais merde, où ai-je merdé ?! J'étais si bien en intérim, qu'ai-je fait ? Quelqu'un m'a t-il jeté un sort ou était-ce inscrit dans ma ligne de vie ? Pourquoi n'ai-je pas toutes les cartes en main pour maîtriser ma vie, sa mère ?! Demain encore, je vais m'en prendre plein la gueule, jusqu'à vendredi, puis jusqu'à fin mars si ce n'est plus tard, je ne sais pas, ça me casse les couilles pour de bon, là.
Je ne comprends plus, ce qui se passe. Je perds mon temps pour chercher un peu de paix sur Twitter, la grosse carotte ! Là, je suis seul, je me retrouve seul comme un con. J'ignore pourquoi, même derrière un masque, je me retrouve isolé.

Putain de sa mère d'année 2012 de merde !

J'essaie d'aller dans le sens des autres tout en faisant avancer les choses et dans le réel comme dans le virtuel (mais le virtuel, on s'en branle), je m'en prends plein la poire. Bordel ! Et l'autre grue qui croit que je ne l'entends maugréer ses conneries, ses âneries derrière mon dos. Conasse !

Putain ! Dix mois, dix mois encore.