lundi 19 juillet 2010
Snoop Dogg "Oh Sookie" True Blood Music Video HD
Je découvre ce clip de Snoop qui risque d'être éclipsé par son non-moins excellent featuring interprété sur "California Gurls" (avec un U) de Katy Perry.
vendredi 16 juillet 2010
Petites Chroniques du Nord Parisien (sortie)
Mon premier livre Petites Chroniques du Nord Parisien est désormais disponible sur le site web de BoD France depuis le 5 juillet 2010.
ATTENTION : le livre est sorti en 272 pages (couverture souple) et non plus 300 pages en reliure brochée, comme indiqué sur le site d'Amazon.fr et autres boutiques en ligne proposant le livre. Je vous prie de ne pas y prêter attention. Merci d'avoir lu mon message.
ATTENTION : le livre est sorti en 272 pages (couverture souple) et non plus 300 pages en reliure brochée, comme indiqué sur le site d'Amazon.fr et autres boutiques en ligne proposant le livre. Je vous prie de ne pas y prêter attention. Merci d'avoir lu mon message.
dimanche 11 juillet 2010
Second extrait
Texte protégé. Ceci est la propriété de Jean-Marc L. dit Luc Philogyne. Prière de ne pas copier. Merci.
Astrid et Willy regagnèrent la voiture garée devant l’immeuble, l’après-midi qui s’achevait, Astrid arracha prestement une amende collée au pare-brise puis la citadine démarra, après une manœuvre quelque peu laborieuse. Astrid, pendant le trajet, considérait l’idée de frayer avec Martha Jackson, agent de stars et d’aspirants à la célébrité, dont certains avaient réellement un potentiel pour réussir.
Astrid devait se débrouiller le lendemain au moment où elle prenait le train avec une partie de l’équipe de RVAL pour Cannes, pour emmener avec elle, sa fidèle assistante. Depuis un moment, alors que le train avait déjà entamé sa longue route vers le sud-est. Astrid fut intriguée par quelques pop-ups qui apparaissaient sur l’écran de son portable. Habituellement, une cigarette aux lèvres, la plantureuse rousse s’abstenait de s’attarder plus d’une demi-heure, préférant écouter les dernières ébauches de sketches de sa camarade de jeu, Vickie Liancourt. Mais là, il y avait quelque chose qui l’intrigua. Ornella n’était pas loin. Elles s’aperçurent ensemble que cela concernait M. Poll. Là, en en cliquant sur un lien d’un site de potins, Astrid crut s’étouffer de rire. Certainement une blague, une très bonne blague.
Sur l’écran, une dépêche émanant de la rubrique people, rapportait une liaison supposée entre l’acteur de renommée internationale et une actrice latino-américaine de films porno très en vogue. Les deux femmes se mirent à éclater de rire très brièvement. Vickie jeta par moments, des regards furtifs en direction du portable. Brandon Poll se tape une actrice porno ! Ben voilà, le scoop, se dit-elle à voix haute.
- Ah, fit Astrid, en secouant nonchalamment sa crinière rousse, Brandon fait un peu ce qu’il veut ma chérie ! Il me semble qu’à un moment, avant de rencontrer la Cassie Beth, il lorgnait pas mal sur ses anciennes partenaires comme l’autre, là… Euh…
- Davina Simpson.
- Ouais. Davina Simpson, excellente dans le dernier Del Basso, mais une vraie chaudasse.
Le train arriva un peu plus tard à la gare de Cannes-Ville. Une bonne partie de l’équipe technique déjà sur place depuis une semaine s’activait, du fait que du personnel supplémentaire avait été recruté sur place. Le cirque comme chaque année avait déjà commencé. Le sigle d’OmégaVisions s’affichait un peu partout alentour de l’immense plateau télé installé en lieu et place du parking d’un grand hôtel de la ville, de sorte à ce que les prises de vues sur l’océan puissent apparaître le plus souvent et s’enchaîner avec les gros plans et les interventions des invités de l’émission. Comme à chaque direct, à la mi-journée comme en début de soirée. OmégaVisions, à cette saison de l’année, observait ses audiences carrément tripler pendant les deux semaines et demie, le temps de couverture de l’évènement. La pression ne se lisait pourtant pas sur le visage des animateurs ou des chroniqueurs mais Constance Le Tessier écrasait cigarette sur cigarette.
- Ce n' sont pas les gens d’en face qui pourraient assurer un show pareil, apostropha Astrid, se plaçant face à Constance, comme pour lui faire de l’ombre en ce coucher de soleil.
- Ah ! nos chers concurrents d’Hexagone Télévision, HT… songea Constance, en époussetant le manche de sa veste.
C’est Nabila qui m’a soufflé l’idée du bloggeur qui n’arrête pas tourner en dérision les d’HT, attends, je te laisse le slogan d’en-tête… HT, la chaîne dirigée et animée par des vendus. La belle trouvaille. Surtout pour un groupe média qui possède deux stations de télé-achat.
- Pas très fair play, tout ça… En même temps, cela ne les a empêché de nous taxer de chaîne à gros sous, sous prétexte que certains animateurs étaient encore grassement indemnisés après avoir été lourdés par la nouvelle direction. Où est le problème ? Les contrats de Vickie et d’Alain Sommet ne sont pas encore arrivés à terme, non ?
- Vickie n’a pas toujours pas de proposition d’émission, elle a enchaîné sur trois pilotes mais la direction non plus ne semblait pas très convaincue. Quant à Sommet, il avait son album de jazz soul à finir, puis les audiences de Ramdam dans mon bocal, ce n’était pas encore ça dès le premier numéro. Pourtant c’était une excellente idée, plutôt original, j’ai trouvé, même.
- Oui, une excellente idée, oui. J’avais même éclaté de rire quand il est arrivé, déguisé en lutin bleu quand il lui fallait annoncer l’arrivée de Sonia Zachary.
Astrid et Willy regagnèrent la voiture garée devant l’immeuble, l’après-midi qui s’achevait, Astrid arracha prestement une amende collée au pare-brise puis la citadine démarra, après une manœuvre quelque peu laborieuse. Astrid, pendant le trajet, considérait l’idée de frayer avec Martha Jackson, agent de stars et d’aspirants à la célébrité, dont certains avaient réellement un potentiel pour réussir.
Astrid devait se débrouiller le lendemain au moment où elle prenait le train avec une partie de l’équipe de RVAL pour Cannes, pour emmener avec elle, sa fidèle assistante. Depuis un moment, alors que le train avait déjà entamé sa longue route vers le sud-est. Astrid fut intriguée par quelques pop-ups qui apparaissaient sur l’écran de son portable. Habituellement, une cigarette aux lèvres, la plantureuse rousse s’abstenait de s’attarder plus d’une demi-heure, préférant écouter les dernières ébauches de sketches de sa camarade de jeu, Vickie Liancourt. Mais là, il y avait quelque chose qui l’intrigua. Ornella n’était pas loin. Elles s’aperçurent ensemble que cela concernait M. Poll. Là, en en cliquant sur un lien d’un site de potins, Astrid crut s’étouffer de rire. Certainement une blague, une très bonne blague.
Sur l’écran, une dépêche émanant de la rubrique people, rapportait une liaison supposée entre l’acteur de renommée internationale et une actrice latino-américaine de films porno très en vogue. Les deux femmes se mirent à éclater de rire très brièvement. Vickie jeta par moments, des regards furtifs en direction du portable. Brandon Poll se tape une actrice porno ! Ben voilà, le scoop, se dit-elle à voix haute.
- Ah, fit Astrid, en secouant nonchalamment sa crinière rousse, Brandon fait un peu ce qu’il veut ma chérie ! Il me semble qu’à un moment, avant de rencontrer la Cassie Beth, il lorgnait pas mal sur ses anciennes partenaires comme l’autre, là… Euh…
- Davina Simpson.
- Ouais. Davina Simpson, excellente dans le dernier Del Basso, mais une vraie chaudasse.
Le train arriva un peu plus tard à la gare de Cannes-Ville. Une bonne partie de l’équipe technique déjà sur place depuis une semaine s’activait, du fait que du personnel supplémentaire avait été recruté sur place. Le cirque comme chaque année avait déjà commencé. Le sigle d’OmégaVisions s’affichait un peu partout alentour de l’immense plateau télé installé en lieu et place du parking d’un grand hôtel de la ville, de sorte à ce que les prises de vues sur l’océan puissent apparaître le plus souvent et s’enchaîner avec les gros plans et les interventions des invités de l’émission. Comme à chaque direct, à la mi-journée comme en début de soirée. OmégaVisions, à cette saison de l’année, observait ses audiences carrément tripler pendant les deux semaines et demie, le temps de couverture de l’évènement. La pression ne se lisait pourtant pas sur le visage des animateurs ou des chroniqueurs mais Constance Le Tessier écrasait cigarette sur cigarette.
- Ce n' sont pas les gens d’en face qui pourraient assurer un show pareil, apostropha Astrid, se plaçant face à Constance, comme pour lui faire de l’ombre en ce coucher de soleil.
- Ah ! nos chers concurrents d’Hexagone Télévision, HT… songea Constance, en époussetant le manche de sa veste.
C’est Nabila qui m’a soufflé l’idée du bloggeur qui n’arrête pas tourner en dérision les d’HT, attends, je te laisse le slogan d’en-tête… HT, la chaîne dirigée et animée par des vendus. La belle trouvaille. Surtout pour un groupe média qui possède deux stations de télé-achat.
- Pas très fair play, tout ça… En même temps, cela ne les a empêché de nous taxer de chaîne à gros sous, sous prétexte que certains animateurs étaient encore grassement indemnisés après avoir été lourdés par la nouvelle direction. Où est le problème ? Les contrats de Vickie et d’Alain Sommet ne sont pas encore arrivés à terme, non ?
- Vickie n’a pas toujours pas de proposition d’émission, elle a enchaîné sur trois pilotes mais la direction non plus ne semblait pas très convaincue. Quant à Sommet, il avait son album de jazz soul à finir, puis les audiences de Ramdam dans mon bocal, ce n’était pas encore ça dès le premier numéro. Pourtant c’était une excellente idée, plutôt original, j’ai trouvé, même.
- Oui, une excellente idée, oui. J’avais même éclaté de rire quand il est arrivé, déguisé en lutin bleu quand il lui fallait annoncer l’arrivée de Sonia Zachary.
Issu du premier livre Petites Chroniques du nord parisien, éditions BoD France, à paraître prochainement en ligne.
Luc Philogyne
mardi 6 juillet 2010
Extrait de la première nouvelle.
Texte protégé. Ceci est la propriété de Jean-Marc L. dit Luc Philogyne. Merci de ne pas copier ce texte.
Aymeric Pouderoux glissa son regard vert autour de lui. Vingt-deux ans, fils aîné d’Alain et de Dominique Pouderoux, professeur de dessin et mère au foyer respectivement. Cheveux bruns coupés assez courts mais qui révéleraient ses origines s’il les laissait pousser très longs. Bordelais du côté paternel, corse et andalou par sa mère. Il faudra mettre ajouter une arrière-grand-mère issue d’une grande famille marocaine s’il fallait bien fouiller dans l’arbre généalogique. Il faut bien avouer que Dominique, malgré sa situation, serait pourtant née avec une cuiller teintée d’argent. En effet, son père fut un brillant négociant de tissus avant que celui-ci connaisse la banqueroute. Dominique avait tout de la femme venue du sud : le caractère, la taille menue, l’énergie nécessaire pour élever deux enfants et tenir son ménage si ce n’est fournir quelques efforts physiques pour le sport ou les discussions qui virent au pugilat. Sa fille cadette Ocilia, quatre ans plus jeune que son frère aîné. Ocilia, que certains membres de la famille surnommait Pallas, du prénom de sa grand-mère paternelle, dont elle avait hérité la mèche blanche plantée dans un océan de jais échouant jusqu’aux reins.
Aymeric rappelait beaucoup son père par sa démarche, d’abord, caractéristique aux Pouderoux, puis une grande réserve teintée d’une nonchalance qui pouvait tantôt dérouter, tantôt séduire les interlocuteurs d’en face. Aymeric était assez loin d’être un garçon charismatique mais il était d’une compagnie agréable. Il avait longtemps pratiqué du judo et du roller skate pour avoir cette attitude leste et quelque peu féline quand il se déplaçait.
De l’avis de tous ceux qu’il approchait, il n’avait pas l’assurance d’un meneur mais il parlait et présentait plutôt bien. Mesuré, volubile mais sûrement pas prétentieux, ni frimeur. C’est aussi ça qui avait séduit Daisy, dès le départ. Même si leur tout nouveau couple semblait quelque peu antinomique, aux yeux des rares personnes à connaître leur relation.
Aymeric venait d’achever ses études. Le bac L en poche et une première année en BTS communication des entreprises avortée, il venait d’enchaîner de petits boulots en missions d’intérim, tout cela en l’espace d’un an. Aymeric, désirant observer une courte période de réflexion et ou débauche auprès de Pierre-Aimé Dallongeville, le permis B en poche depuis deux ans mais toujours pas de véhicule en main jusqu’à que Mme Pouderoux se décide enfin à s’acheter sa voiture et la partager avec son fils qui semblait plus à l’aise qu’elle derrière un volant. Une Classe B 190 Avant-Garde de couleur grise métallisée. … Le piège parfait à fille, selon Pierre-Aimé qui aimait s’afficher à l’avant du véhicule à chaque sortie nocturne. Selon toute apparence, les Pouderoux n’étaient pas pour autant privilégiés. Le voisinage n’était pas dupe du statut d’Alain Pouderoux, professeur de dessin dans le privé. Alain était lui aussi issu d’une bonne famille girondine, principalement de Pessac, cette même ville qui l’a vue naître et vu ses premiers amours dont Dominique devait – furtivement – en faire partie. Des grands-parents partis de rien et des parents destinés, bon gré mal gré, à devenir des enseignants dotés d’un mode de vie assez confortable. Mais cette ascendance n’avait jamais empêché Aymeric et sa sœur cadette de fréquenter leurs camarades de classe du quartier du Val d’Argent.
Extrait de Petites Chroniques du nord parisien, éditions BoD France, à paraître bientôt en ligne.
Luc Philogyne
Aymeric Pouderoux glissa son regard vert autour de lui. Vingt-deux ans, fils aîné d’Alain et de Dominique Pouderoux, professeur de dessin et mère au foyer respectivement. Cheveux bruns coupés assez courts mais qui révéleraient ses origines s’il les laissait pousser très longs. Bordelais du côté paternel, corse et andalou par sa mère. Il faudra mettre ajouter une arrière-grand-mère issue d’une grande famille marocaine s’il fallait bien fouiller dans l’arbre généalogique. Il faut bien avouer que Dominique, malgré sa situation, serait pourtant née avec une cuiller teintée d’argent. En effet, son père fut un brillant négociant de tissus avant que celui-ci connaisse la banqueroute. Dominique avait tout de la femme venue du sud : le caractère, la taille menue, l’énergie nécessaire pour élever deux enfants et tenir son ménage si ce n’est fournir quelques efforts physiques pour le sport ou les discussions qui virent au pugilat. Sa fille cadette Ocilia, quatre ans plus jeune que son frère aîné. Ocilia, que certains membres de la famille surnommait Pallas, du prénom de sa grand-mère paternelle, dont elle avait hérité la mèche blanche plantée dans un océan de jais échouant jusqu’aux reins.
Aymeric rappelait beaucoup son père par sa démarche, d’abord, caractéristique aux Pouderoux, puis une grande réserve teintée d’une nonchalance qui pouvait tantôt dérouter, tantôt séduire les interlocuteurs d’en face. Aymeric était assez loin d’être un garçon charismatique mais il était d’une compagnie agréable. Il avait longtemps pratiqué du judo et du roller skate pour avoir cette attitude leste et quelque peu féline quand il se déplaçait.
De l’avis de tous ceux qu’il approchait, il n’avait pas l’assurance d’un meneur mais il parlait et présentait plutôt bien. Mesuré, volubile mais sûrement pas prétentieux, ni frimeur. C’est aussi ça qui avait séduit Daisy, dès le départ. Même si leur tout nouveau couple semblait quelque peu antinomique, aux yeux des rares personnes à connaître leur relation.
Aymeric venait d’achever ses études. Le bac L en poche et une première année en BTS communication des entreprises avortée, il venait d’enchaîner de petits boulots en missions d’intérim, tout cela en l’espace d’un an. Aymeric, désirant observer une courte période de réflexion et ou débauche auprès de Pierre-Aimé Dallongeville, le permis B en poche depuis deux ans mais toujours pas de véhicule en main jusqu’à que Mme Pouderoux se décide enfin à s’acheter sa voiture et la partager avec son fils qui semblait plus à l’aise qu’elle derrière un volant. Une Classe B 190 Avant-Garde de couleur grise métallisée. … Le piège parfait à fille, selon Pierre-Aimé qui aimait s’afficher à l’avant du véhicule à chaque sortie nocturne. Selon toute apparence, les Pouderoux n’étaient pas pour autant privilégiés. Le voisinage n’était pas dupe du statut d’Alain Pouderoux, professeur de dessin dans le privé. Alain était lui aussi issu d’une bonne famille girondine, principalement de Pessac, cette même ville qui l’a vue naître et vu ses premiers amours dont Dominique devait – furtivement – en faire partie. Des grands-parents partis de rien et des parents destinés, bon gré mal gré, à devenir des enseignants dotés d’un mode de vie assez confortable. Mais cette ascendance n’avait jamais empêché Aymeric et sa sœur cadette de fréquenter leurs camarades de classe du quartier du Val d’Argent.
Extrait de Petites Chroniques du nord parisien, éditions BoD France, à paraître bientôt en ligne.
Luc Philogyne
dimanche 4 juillet 2010
Le projet
Voilà, depuis vendredi dernier et lundi pour une petite mise au point avec le bureau du site*, j'ai enfin validé le manuscrit. Bon, je n' l'ai jamais soumis sous le contrôle d'un correcteur professionnel mais cela me revenait à près de 230 à 250 € et là, je n'avais ni l'argent, ni le temps pour le faire. Malgré le fait que cela corresponde à une création d'entreprise, le lancement d'un livre auto-édité (à compte d'auteur, quand même, même à près de 50€) donc, voilà.
Petites Chroniques du nord parisien devrait voir le jour, fin juillet ou début août de cette année 2010. Je fais ce que je peux pour gratter un peu de sous et inscrire mon nom de scène sur la toile et quelque part sur le papier...
Pour la plume et l'image (et le son, un jour sans doute), mon nom, c'est Luc Philogyne.
Je suis quelque part sur la toile, suffit de taper ce nom en recherche, nom de scène que je cherche à protéger, j'ignore comment mais cela se fera d'une manière ou d'une autre.
Voilà, j'ignore ce que cela donnera mais je l'ai fait.
Petites Chroniques du nord parisien devrait voir le jour, fin juillet ou début août de cette année 2010. Je fais ce que je peux pour gratter un peu de sous et inscrire mon nom de scène sur la toile et quelque part sur le papier...
Pour la plume et l'image (et le son, un jour sans doute), mon nom, c'est Luc Philogyne.
Je suis quelque part sur la toile, suffit de taper ce nom en recherche, nom de scène que je cherche à protéger, j'ignore comment mais cela se fera d'une manière ou d'une autre.
Voilà, j'ignore ce que cela donnera mais je l'ai fait.
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