samedi 28 mars 2009

Pour Juliette de Cannes...

Une chose que j'aimerais dire absolument, c'est:Je suis douce! gentille! attentionnée! câline ! franche ! directe! et pas diplomate ! et quand on me blesse je peux faire beaucoup de mal verbalement !!!!!! parce que je ne supporte pas la trahison et l injustice !!!! J aime beaucoup parler, je n aime pas les conflits et fais tout pour les régler rapidement! Je ne suis pas rancunière et j ai beaucoup de caractère donc ceux qui se croient au dessus de tout le monde mm pas la peine d approcher! Ceux qui n ont pas régler leurs anciennes déceptions non plus! Ahhhh une dernier chose je ne cherche pas de plan cul! de cam cul! etc alors tout ce registre là vous degagez aussi ! Sur ce a tout de suite si vous l osez...... ;-)

Un homme reste toujours un prédateur potentiel pour une femme, je le concède... Mais ce ne sont pas tous les hommes, je ne suis pas un beau parleur et je n'ai pas la vocation d'en devenir un. Je m'en fous... Ok, je m'emballe en voyant tes photos mais je tente tout de même le coup. Franche, directe... Ca ce sont des qualités que j'aime reconnaître chez une femme... Tu n'aimes
pas être blessée mais te souviens-tu de celles et ceux que tu as sans doute blessés ?! Non, je dis juste cela car tu sais exactement quoi dire pour te faire comprendre. Franchement, tu as tout pour rendre un homme heureux.

samedi 21 mars 2009

sans titre

Rien de nouveau à l'ouest, il faudra que je me souvienne de ré-emprunter Climax, le double-best of de Bashung, compile qui pourrait bien ressortir ces jours-ci, je guetterai peut-être virginméga.fr. J'étais pourtant parti pour le dernier Rhoff. Quand je revois les images de Gaby, oh Gaby ou Vertiges de l'amour, je me remémore une enfance sans père mais sans histoire, toute ma jeunesse passée à Epinay sur Seine, ma scolarité rue de la Chevrette, mes années 80 à moi. Et ce foutu temps qui passe, qui passe... Je me suis inscrit sur trombi.com mais pour le moment, je ne suis pas enclin à recontacter un pan de mon passé, même si j'éprouvais un plaisir non dissimulé à revoir des visages amis, oubliés depuis deux decennies et des poussières. J'ai un avenir, deux enfants qui contribuent à l'embellir, jour après jour, avec la grâce du Tout-Puissant. Une vie amoureuse à (re)construire. Et une carrière professionnelle à restructurer. La vie amoureuse, en elle-même, n'est pas un problème, si ce n'est que le temps, toujours lui, file à une vitesse infernale. Où se sont envolées mes années 90, d'ailleurs ?!

samedi 14 mars 2009

sans titre

Je ne suis pas jaloux de Shirley M. (la fille de Patchwork Studio), née le 5 mars 1988, jaloux qu'elle soit née sous une très belle étoile, d’exercer peut-être le métier que j’aurais désiré exercer, je m’étais essayé un temps, à la musique (guitare), verdict : pas doué. Le cinéma, la télé ? Je me suis inscrit comme figurant mais les agences ne m’appelaient pas. Le cinéma, à proprement dit, ce n'était pas une réelle priorité. Je ne suis pas jaloux d’une surdouée, je n’en fais pas une jaunisse, ni une obsession... même si j’en parle dans mon myspace. Je trouve que 21 ans, c’est drôlement juste pour prétendre à un curriculum vitae aussi impressionnant mais voilà cette jeune femme représente tout ce que j’abhorre : cette jeunesse arrogante à qui tout réussit. J’aurai 39 ans le 12 juin prochain et n’ayant ni Golf IV ou même Mégane II Expression diesel dans le garage, ni le compte bancaire qui me permet de partir en Guadeloupe, voir ma vieille maman à Petit-Bourg, bien, j’ai la vague impression d’être passé à côté de quelque chose... La Rolex dans dix ans, je peux y faire une croix sauf si je m’y mets là, aujourd’hui, maintenant. Je n’effacerai pas pour autant ma lettre ouverte qui lui était destinée même si après avoir lu sa bio, je comprends deux, trois choses. Ai-je vraiment peur de l’échec ? De pas être à la hauteur ? Mes échecs scolaires, sentimentaux, tout ça c’est derrière moi, je n’ai aucune impression d’avoir réellement raté ma vie. Et c’est peut-être ça le problème. Je ne suis pas en souffrance, je ne comprends pas, c'est tout. Ne pas avoir eu cette impression. Peut-être qu'en rencontrant un(e) très ancien camarade de classe, la gifle se fera un peu plus pressante. J’ai peut-être autre chose pour être heureux... Mais ce sont ceux que j’aime que j’aimerais rendre heureux. Bordel...
La vie est un cadeau mais elle n’en fait pas. Même ça, elle l’a dit avant moi.
Salope.


Merci.

samedi 7 mars 2009

sans titre

Bon, rien de nouveau à l'est... Rien de rien, aucune perspective pour démarrer une nouvelle histoire avec une autre fille. Trop déçu par internet ! Beaucoup trop déçu... G juste envie 2 m'investir sur d'autres projets, envie 2 réussir ma carrière... Je ne suis plus en couple à proprement dit, bientôt mon appart n'entendra plus aussi souvent les cris, les rires, les pleurs de ces deux êtres qui comptent le plus dans ma vie... En cette période de carême, je me (re)plie dans le recueillement, la réfléxion... Au carrefour de quelques décisions à prendre... Vivement le 20 mars prochain, il y a des jours où on aimerait que certaines heures, certains jours s'écoulent assez vite...
Aujourd'hui 7 mars, Franck, si tu tombes par hasard, sur ce blog (je C que tu pourrais te taper des barres) je ne peux pas t'envoyer de mail via trombi.com mais je te souhaite un joyeux anniversaire, passe le bonjour à tout le monde, même à papou :(
Nous nous retrouverons, promis, frelo !!

:)

dimanche 1 mars 2009

...Rassembler la famille centriste

Jean Arthuis, président de la commission des finances au Sénat réunit 600 élus et militants, le 29 juin, pour tenter de recoller les morceaux.
Ex-UDF, ex-MoDem, Nouveau Centre, centristes de l'UMP... Cette dispersion n'est pas un peu ridicule ?
La famille centriste est atomisée, vaporisée. C'est un phénomène qui a commencé en 1998, au lendemain des régionales, qui s'est poursuivi en 2002 et qui atteint son paroxysme en 2007. La conséquence, c'est une bipolarisation qui fait pencher le balancier très à gauche dans les élections locales. On a vu des figures emblématiques du centre passer à l'UMP et la conquête par la gauche de la plupart des sièges des exécutifs régionaux. Je suis persuadé que la vie politique française a besoin d'un centre indépendant, suffisamment fort et clair dans son identité.
Vous allez réunir, le 29 juin, au Sénat, les centristes qui voudront bien vous rejoindre. Vous attendez beaucoup de monde ? Et vous en attendez quoi ?
Notre objectif, c'est de rassembler le centre, pas de créer un parti supplémentaire. Nous sommes un certain nombre à avoir tenté l'expérience du MoDem. Cette stratégie d'autonomie est une véritable impasse, totalement illisible. On a vu, à Lyon, six MoDem élus, trois à droite, trois à gauche ! Dans ces conditions, j'ai décidé de claquer la porte. Avec seize collègues sénateurs, quatre députés européens et un député national, nous avons décidé de lancer cet appel. On a réservé à peu près six cents places. Le but, c'est de vérifier qu'il y a bien, en France, une culture et un attachement au centre sur des valeurs humanistes, sociales, libérales, européennes.
Le Nouveau Centre (allié de l'UMP) ne peut pas être cette famille-là ?
Il peut difficilement réclamer son indépendance, compte tenu de l'engagement très direct de plusieurs de ses membres dans la vie gouvernementale. Il ne nous est pas apparu qu'il avait vocation à rassembler tous les centristes. Pas plus que le MoDem. Mais nous invitons tous les centristes à s'interroger.
Quand on vous écoute individuellement, on a le sentiment que les idées sont assez largement partagées...
Ça prouve bien que nous avons un ADN commun.
Alors, c'est un problème d'hommes ?
On n'est pas dans une attitude de mésentente. Je connais plusieurs parlementaires du Nouveau Centre prêts à changer le nom du parti. Au soir du 29 juin, nous dirons, je crois, que nous sommes prêts à participer à la fondation d'un centre qui donne des gages d'indépendance.
Vous pariez sur une évolution du Nouveau Centre ?
Oui.
L'UMP et Nicolas Sarkozy laisseront-ils faire ?
Nous voulons avoir davantage d'indépendance pour aider le gouvernement à remettre d'aplomb les finances publiques, pour redonner de la compétitivité à l'économie et la rendre compatible avec la justice sociale. Il faut que, sur un certain nombre de propositions, nous soyons plus fermes que ne l'a été le Nouveau Centre.
Certains vous suspectent de développer une stratégie personnelle...

À titre personnel, je n'ai aucune ambition. Simplement, les partis ne fonctionnent pas tout seuls. Alors, j'ai estimé que mon devoir était de participer à ce rassemblement.
Recueilli par
Michel URVOY.

Publié le 16 juin 2008

Ceci, je comprends mieux, depuis six mois. Centristes de l'UMP, ça n'a aucun sens... Le Centre, c'est le centre, pas la droite, le centre de la droite ou autre. Ou la droite modérée...